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À propos

Vision

Une société dans laquelle aucune forme de violence n’est tolérée. 

Mission

Veille à ce que toute la population du Sud-Est puisse vivre en sécurité et sans violence.

Valeurs

Ouverture d’esprit, équité, intégrité, excellence et transparence.

Notre mission

Le Centre de Prévention de la Violence a une mission, c’est-à-dire un but à atteindre par l’entremise de ses services. La mission du Centre de Prévention de la Violence est de «veiller à ce que toute la population du Sud-Est puisse vivre en sécurité et sans violence», en répondant efficacement aux besoins des familles victimes et en assurant la coordination des services à développer au niveau régional et/ou provincial.

Notre mandat

Le Centre a pour mandat de prévenir la violence, d’abord en conscientisant la population sur l’existence de la violence, et ce, par le biais de ses programmes. Le Centre veut aussi s’assurer que les services offerts répondent efficacement aux besoins des victimes et qu’ils sont offerts dans leur communauté d’origine afin qu’elles aient accès à des services de qualité dans leur région plutôt que loin de chez elles. Afin d’offrir des services de qualité aux victimes/survivantes de violence, le Centre coordonne les services à développer dans les communautés par le biais de partenariats et avec la participation de toute la communauté à l’élaboration d’un plan stratégique commun. 

Historique

1997

C’est le travail d’un comité intersectoriel du comté de Kent sur la violence qui a donné naissance au Centre de Prévention de la Violence. À la suite d’une démarche et d’un partenariat communautaire, un groupe de personnes, intéressées à la problématique de la violence, s’est réuni à l’été 1997 afin d’étudier la possibilité de mettre sur pied un centre de prévention de la violence dans le comté de Kent.

Le projet s’inspire de l’approche de développement communautaire et vise la création de partenariats intercommunautaires dans un esprit de prise en charge collective du bien-être. Le succès dépend de la participation de la communauté. Le projet doit également promouvoir les concepts de prévention, de visibilité, de sensibilisation et d’éducation publique pour tout ce qui touche de près ou de loin la violence.

1998

Un conseil d’administration a été formé en 1998 afin de mettre en branle le Centre de Prévention de la Violence dans Kent.

1999

En 1999, le Centre a été incorporé et a embauché sa première employée, c’est-à-dire la directrice du Centre de Prévention de la Violence.

2000

En 2000, on a procédé à l’ouverture officielle du Centre de Prévention de la Violence dans Kent et à une recherche-action afin de connaître les besoins de la population du comté de Kent.

2004

L’ouverture officielle de la maison d’hébergement de Kent nommée «Maison Sérénité» s’est déroulée en 2004.

2008

En 2008, le Centre de Prévention de la Violence a misé sur la construction de logements qui deviendront la Maison Oasis, et c’est en 2009 que le projet de création d’une maison de seconde étape s’est achevé. Grâce à cette réalisation, il y a désormais cinq logements disponibles pour les femmes victimes de violence.

2013

En 2013, c’est avec honneur et reconnaissance que le Centre de Prévention de la Violence dans Kent s’est fait remettre le prix Temple de la renommée de la prévention du crime. L’association de la prévention du crime du Nouveau-Brunswick inc. a eu l’honneur et le plaisir d’offrir au Centre de Prévention de la Violence dans Kent cette reconnaissance pour son dévouement et sa conduite professionnelle qui ont largement contribué à la prévention du crime au Nouveau-Brunswick.

2017

Un protocole d’entente interministériel a été signé en mars 2017 et l’on a procédé à l’ouverture officielle du Centre Boreal- Centre d’expertise pour enfants et adolescents victimes d’agression sexuelle.

Reconnaissance de terre

Le Centre Boreal reconnaît que la terre sur laquelle il est situé est le territoire traditionnel non cédé des peuples Wolastoqiyik et Mi’gmaq. Ce territoire est visé par les « traités de paix et d’amitié » que les Wolastoqiyik et les Mi’gmaq ont d’abord conclus avec la Couronne britannique en 1726. Les traités en question ne comportaient pas de clause relative à la cession des terres et des ressources, mais reconnaissaient de fait le titre des Mi’gmaq et des Wolastoqiyik et définissaient les règles quant à ce qui devait être des relations durables entre les nations.